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L’expo « Paris Musique Club » ou comment donner une matière aux sons !

Mercredi 9 Décembre 2015
Depuis le 24 octobre et jusqu'au 31 janvier 2016, la Gaîté Lyrique accueille une exposition sur l’alliance entre la musique et le numérique.
L’expo « Paris Musique Club » ou comment donner une matière aux sons !

Créée en collaboration avec le collectif Scale, le programme est plus qu’alléchant : des lives et des DJ sets, des "boums" et des goûters, des ateliers et des Masterclasses, des projections à 360° et de l’architecture lumineuse, un bar éphémère et beaucoup d'autres jeux, expériences et découvertes.

L’exposition se déroule autour de 12 Cartes blanches, 12 collectifs qui se succèderont tout au long de l’expositon.

Jusqu’au 6/12, c’était In Paradisium le chef d’orchestre. Au menu, une discussion autour de la question « Que peut-on espérer d’un label ? » suivie d’une session docu, courts métrages et film à propos de la collaboration audio/vidéo et d’expériences musicales sur place.

Brut pop, promoteur de musiques expérimentales et d’arts plastiques avec un public en situation de handicap mental ou psychique, prend la suite du 10 au 13 décembre.

Du 17 au 20 décembre, le label InFiné poseras ses valises pour des expériences musicales suprenantes : associations de musique électroniques et de musiques classiques, et quelques documentaires et films tout aussi originaux.

Pour le mois de janvier la programmation complète n’est pas dévoilée, on vous laisse donc la découvrir par vous-même après les fêtes de Noêl !

Par curiosité on a quand même demandé l’avis de l'un des visiteurs de cette exposition, histoire de savoir ce qu’elle valait vraiment :

« L’exposition n’est pas très grande, mais on sent qu'il y a un gros budget derrière. Il doit y avoir environ 8 œuvres, certaines étaient inaccesibles quand j’y suis aller car il y avait un concert. Après il y a des installations vraiment innovantes du style un piano qui joue tout seul avec des hallogènes qui s’allume en rythme avec la musique, ou encore une piste de danse qui actionne une trentaine de symbales et évidemment des table de mix pour créer ses propres sons ! Une des œuvres qui m’a marqué c’est le Bolero de Ravel (ndlr : une musique de ballet pour orchestre), il y a un projecteur qui met en lumière des volumes blancs qui représente un orchestre (selon moi) et c’est vraiment beau. On est définitvement pas déçu, le lien entre le numérique et la musique est ultra présent, l’acoustique est impressionante ! Clairement tu sens la musique prendre forme dans l’espace et ça, ça vaut le détour ! » Hugo, 23 ans jeune architecte.

Toutes les infos ici : http://gaite-lyrique.net/paris-musique-club

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